mardi 22 février 2011

Il me faut des moules, plus de moules.


Si j'écoutais l'âme de poète disparu qui sommeille en moi, je m'en irais tout seul avec mon thermos de café, faire du camping très sauvage sur les plages de la Mer du Nord. Enivré par l'élément marin, totalement à poil, je braverais aveuglement la houle, comme on peut aimer une femme, pour cueillir des kilos et des kilos de ces moules si délicieusement introverties (à la crème, mmmh, à la crème).

Die Jungen redonne le goût des choses simples, des escapades solitaires et du travail manuel. Il y a certaines choses qui ne s'achètent pas.

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