mardi 17 août 2010

It's Always Sunny In Philadelphia.


Oh, Naoko

A 5 ans et demi j'étais déjà un grand traumatisé qui craignait les journées à la plage. Disons que je me sentais vulnérable, à quatre pattes au dessus de ma sirène de sable; je sommais ma mère de tartiner mon petit corps de crème solaire indice 100, par crainte que le soleil ne s'en prenne à mes grains de beauté à forte valeur ajoutée. Sauf que maintenant j'ai soif de radiation, soif de rayons ultra-violet...

Puisse Sun Airway apaiser le goût amer du regret.



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire