lundi 22 novembre 2010

Beast from the East.


Raspoutine était un affreux jojo, un libertin émérite à qui j'aurais clairement donné ma voix pour l'élection du "Roi de la plage" au Cap d'Agde. Toujours élégant et entouré des plus belles poupées de son époque, Raspoutine brillait de mille feux. Je n'ai pas peur de le dire : Hugues Grant, tu crains.
Enfin, c'était peut être pas le genre de type à qui j'aurais confié ma petite soeur pour un babysitting... Quand même.

Honest, Rasputin wasn't a really cool guy. That's for sure. There's a bunch of scarier-than-junior-high-halloween-party stories about him I just don't want to hear. I mean that Siberian weirdo didn't give a fuck about little sick Alexis, all he was interested in was screwing, screwing and screwing. Rasputin wasn't a man but a wild beast.
Wildness, that's the thing. DC's Ra Ra Rasputin makes me want to sweat like party boy, once again. Take a look at their debut album on their bandcamp.


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